.: ABC du Vin :.
Appellations et Crus classés
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Beaujolais

Catégorie de l'appellation
Classement AOC
Date du classement 12/09/1937
Carte Beaujolais AOC
Caractéristiques géographiques
Pays France
Région Bourgogne
Sous-région Beaujolais
Commune(s)
  • Rhône :
    Alix, Anse, L'Arbresle, Les Ardillats, Arnas, Bagnols, Beaujeu, Belleville, Belmont, Blacé, Le Bois d'Oingt, Le Breuil, Bully, Cercié, Chambost-Allières, Chamelet, Charentay, Charnay, Châtillon d'Azergues, Chazay d'Azergues, Chénas, Chessy lès Mines, Chiroubles, Cogny, Corcelles en Beaujolais, Dareizé, Denicé, Emeringes, Fleurie, Frontenas, Gleizé, Jarnioux, Juliénas, Jullié, Lacenas, Lachassagne, Lancié, Lantignié, Légny, Létra, Liergues, Limas, Lozanne, Lucenay, Marchampt, Marcy, Moiré, Montmelas Saint-Sorlin, Morancé, Nuelles, Odenas, Oingt, Les Olmes, Le Perréon, Pommiers, Pouilly le Monial, Quincié en Beaujolais, Régnié-Durette, Rivolet, Saint-Clément sur Valsonne, Saint-Cyr le Chatoux, Saint-Didier sur Beaujeu, Saint-Etienne des Oullières, Saint-Etienne la Varenne, Saint-Germain sur l'Arbresle, Saint-Georges de Reneins, Saint-Jean d'Ardières, Saint-Jean des Vignes, Saint-Julien, Saint-Just d'Avray, Saint-Lager, Saint-Laurent d'Oingt, Saint-Loup, Saint-Romain de Popey, Saint-Vérand, Sainte-Paule, Salles Arbuissonnas en Beaujolais, Sarcey, Ternand, Theizé, Vaux en Beaujolais, Vauxrenard, Vernay, Ville sur Jarnioux, Villié-Morgon.
  • Saône-et-Loire :
    Chaintré, Chânes, La Chapelle de Guinchay, Chasselas, Crêches sur Saône, Leynes, Pruzilly, Romanèche-Thorins, Saint-Amour-Bellevue, Saint-Symphorien d'Ancelles, Saint-Vérand.

Sol Argile, Calcaire, Granit, Sable
Superficie (ha) 9809
Climat Continental
Couleurs et cépages
Couleur(s) Blanc / Rosé / Rouge
Encépagement Aligoté, Chardonnay, Gamay, Pinot noir
Production (hl)
Dégustation
Type de vin
Température de service
Garde potentielle
Autres informations
Appellation(s) rattachée(s) Beaujolais nouveau, Beaujolais primeur, Beaujolais Supérieur, Beaujolais-Villages
Appellation(s) de repli(s) Bourgogne, Bourgogne grand ordinaire, Bourgogne Ordinaire
Site internet Site officiel de l'appellation
Caractéristiques
.: ABC du Vin :.

Présentation
La région du Beaujolais appartient à la région Bourgogne. Elle se situe dans le département du Rhône avec l’arrondissement de Villefranche sur Saône et la partie la plus méridionale de l’arrondissement de Maĉon.
Le Beaujolais est délimité par le Mâconnais au nord, la Saône à l'est, les Monts du Lyonnais au sud et les Monts du Beaujolais à l'ouest.
L'appellation couvre 85 communes du département du Rhône et 11 communes du département de Saône-et-Loire.
Le vignoble forme sur la bordure orientale du Massif Central une bande quasi-continue de 15 à 20 kilomètres de large pour 55 kilomètres de long sur la rive droite de la Saône entre Mâcon et Lyon.
Les sols sont plutôt argilo-calcaires dans le sud de l'appellation et granitiques avec des sols sableux ou argileux dans le nord.
Le vignoble s'étend sur une superficie de 1750 km² et se situe entre 180 mètres et 550 mètres à une altitude moyenne de 300 mètres avec une exposition vers l'est et le sud.
Le climat est de type océanique avec une influence continentale et méridionale.
Le nom de l'appellation a pour origine le terme latin de Bellijocum désignant la seigneurie de Beaujeu.

Histoire
La vigne existait sans doute à l'état sauvage avant l'invasion romaine (-58 avant J.C).
Elle apparaît de manière certaine en Bourgogne vers 60 après J.C., la vigne est alors cultivée et les vins sont aromatisés. Ce sont des vins doux, miellés, goudronnés ou salés exportés (Lucius Iunius Moderatus Columella dit Columelle dans son Traité d'agriculture).
En 96, un édit de l'empereur Domitien (51-96) ordonne la suppression de la vigne hors d'Italie pour relancer la production de vin en Italie.
En 281, l'empereur Probus (232-282) révoque l'édit de Domitien ce qui a pour conséquence de relancer la culture de la vigne dans cette partie de la Bourgogne.
Probablement qu'après la chute de l'empire romain, la vigne est maintenue et cultivée par les ordres religieux.
Au 10ème siècle, les moines introduisent la taille courte de la vigne, défrichent et plantent les coteaux abandonnés autour des monastères et les terrains qui leurs sont donnés.
La première mention du nom de Beaujolais apparaît en 1031 avec la citation de Bellijocum désignant la seigneurie de Beaujeu dont le seigneur de 1015 à 1050 est Guichard II de Beaujeu (988-1050). La seigneurie de Beaujeu donnera son nom à l'ensemble de la région malgré le transfert de son siège à Villefranche sur Saône.
A la fin du 12ème siècle, Humbert III (1120-1192), fils de Guichard IV et seigneur de Beaujeu de 1137 à 1192 fonde une abbaye de l'ordre des Augustins à Belleville en Beaujolais.
Le 27 avril 1622, Louis XIII (1601-1643) interdit la vente de vins du Lyonnais et du Beaujolais comme vin de Bourgogne.
Au 17ème siècle, une rivalité qui durera jusqu'au 19ème siècle, oppose le vignoble du mâconnais au vignoble du Beaujolais pour l'accession aux marchés des vins de Lyon (les vins de Mâcon étaient fortement taxés car étrangers au gouvernement de Lyon) et de Paris. Les deux vignobles vendent alors généralement leurs productions sous le nom de vins de Mâcon et utilisent les mêmes tonneaux et usages de vente. Mâcon accuse le cépage Gamay de produire des vins grandements nuisibles au corps humain à partir d'un raisin interdit en de nombreux endroits et tout spécialement en Bourgogne du fait de sa nature grandement corrosive.
L'ouverture en 1642 du canal de Briare qui va permettre de relier les bassins de la Loire et de la Seine va entraîner le développement de la culture de la vigne dans ce secteur de la vallée du Rhône.
Dès le milieu du 17ème siècle, les vins du Beaujolais approvisionnent Paris en vin bon marché. Contrairement aux autres régions bourguignonnes, le vignoble du Beaujolais appartient à des bourgeois, des hommes de lois (noblesse de robe), des nobles et des soyeux lyonnais.
Le 18ème siècle va connaître une spécialisation agricole du Beaujolais avec la plantation de mûriers pour les soieries lyonnaises et la création d'un vignoble important afin de bénéficier du début de l'industrialisation de la région de Lyon. Les coteaux de la Saône sont défrichés, ceux de la Loire également, pour créer de nouveaux vignobles et la superficie de culture du blé diminue au profit de la vigne. Le commerce de la vigne devient l'activité principale de la région.
Le 19ème siècle entraîne une spécialisation du vignoble avec au nord une production de vins destinés à être transportés vers Paris, les pays situés au nord de la France et la Suisse alors que la partie sud du Beaujolais cherche à produire des vins de consommation courante pour alimenter la région lyonnaise. Le vignoble du Beaujolais est alors la propriété de grands propriétaires fonciers lyonnais pour l'essentiel.
En 1857, au sommet du Mont Brouilly, est inaugurée la Chapelle Notre-Dame des raisins surnommée Notre-Dame des vendanges.
Le 22 janvier 1870, Victor Pulliat (1827-1896) grand propriétaire foncier à Chiroubles fonde la Société Régionale de Viticulture de Lyon dont il deviendra le président plus tard. Mais surtout, dès 1877, celui-ci publie un ouvrage sur la lutte contre le phylloxéra où il fait l’apologie du greffage (La vigne américaine et la culture de la vigne en Europe).
En 1873, le phylloxéra commence à s'attaquer au vignoble du Beaujolais.
Le 5 décembre 1879, le premier syndicat de lutte contre le phylloxéra est fondé à Chiroubles afin de bénéficier des subventions accordées par l'état français pour l'utilisation du sulfure de carbone, procédé inventé par le baron Arnoult-Paul Thénard (1819-1884) et encourager par la commission supérieure du phylloxéra présidée par Louis Pasteur (1822-1895).
C'est en 1880 que sur la colline de Brouilly a lieu les premiers essais de greffages sur plant américain du Beaujolais avant sa généralisation dans toute la région à partir de 1885.
En 1900, la totalité du vignoble est replanté et la crise du phylloxéra terminée. Les conséquences de cette crise du phylloxéra est la disparition du vignoble planté au sud du Beaujolais, notamment sur les Monts du Lyonnais, l'augmentation de la superficie plantée autour de Beaujeu et de Belleville et une crise de surproduction qui durera jusqu'à la première guerre mondiale.
Entre 1929 et 1934, de nombreuses coopératives sont créées : Saint-Jean d'Ardières, Liergues, Chiroubles, Quincié en Beaujolais, Fleurie, Gleizé et Chénas.
C'est en 1935 que la région du Beaujolais est rattachée à la région Bourgogne.
Le 12 septembre 1937 l'appellation d'origine contrôlée Beaujolais est créée en même temps que l’appellation Beaujolais Villages et la mention Beaujolais supérieur également. La superficie du vignoble est alors de 12 à 16000 hectares. L’encépagement prévu pour les cépages blancs est Aligoté et Chardonnay. Pour les vins rosés et rouges, l’encépagement se compose des cépages Gamay, Pinot gris et Pinot noir, comme cépage accessoire (10 % maximum) : Gamay tenturier. Il reste possible d’ajouter jusque 15 % de cépages blancs (Aligoté, Chardonnay, Melon (Gamay blanc). La richesse minimale en sucre des moûts est fixée à 145 g/L (162 g/L si ajout du nom de la commune d’origine), le degré alcoolique minimal des vins est de 8,5 ° (9,5 ° si ajout du nom de la commune d’origine) et le rendement maximal autorisé est de 50 hL/ha (45 hL/ha si ajout du nom de la commune d’origine). Le rendement moyen est alors de 38 hL/ha.
Le 28 juillet 1938, un décret supprime l’appellation d’origine simple Beaujolais.
En 1943, 31 communes sont autorisées à ajouter leur nom après celui de Beaujolais sur l'étiquette mais ce n'est pas encore la création de l'appellation Beaujolais-Villages.
Le 16 mars 1943, le décret d’appellation est modifié, la richesse minimale en sucre des moûts pour les vins blancs et rosés est fixée à 162 g/L et le degré alcoolique minimal des vins est de 9,5 °, pour les vins rouges, la richesse minimale en sucre des moûts est fixée à 162 g/L et le degré alcoolique minimal des vins est de 9 °. Le même décret autorise l’ajout du nom de la commune d’origine à l’appellation Beaujolais à condition que les vins blancs et rosés possèdent une richesse minimale en sucre des moûts de 178 g/L et un degré alcoolique minimal des vins de 10,5 °, pour les vins rouges, la richesse minimale en sucre des moûts est fixée à 180 g/L et le degré alcoolique minimal des vins est de 10 °.
Le 14 octobre 1943, le décret d’appellation Beaujolais est modifié comme suit : la richesse minimale en sucre des moûts pour les vins blancs est fixée à 162 g/L et le degré alcoolique minimal des vins est de 9,5 °, pour les vins rosés et rouges, la richesse minimale en sucre des moûts est fixée à 162 g/L et le degré alcoolique minimal des vins est de 9 °. Dans ce même décret, la mention Beaujolais supérieur, ou l’ajout du nom de la commune de production est accordée aux vins blancs dont la richesse minimale en sucre des moûts est fixée à 178 g/L et le degré alcoolique minimal des vins est de 10 °, pour les vins rosés et rouges, la richesse minimale en sucre des moûts est fixée à 180 g/L et le degré alcoolique minimal des vins est de 10 °.
En 1945, l'Union viticole beaujolaise demande l'autorisation de vendre ses vins en primeur. Cette démarche sera appuyée par le député du Rhône Jean Laborde (1911-1958).
En 1947, la confrérie Les Compagnons du Beaujolais est fondée.
Le 21 avril 1950, l'appellation Beaujolais-Villages est créée. Les 31 communes de 1943 sont concernées.
Le 13 mars 1951 les producteurs du Beaujolais obtiennent de pouvoir commercialiser leurs vins nouveaux avant la date officielle du 15 décembre définie par la loi. Ce sera le 13 novembre. Pour la première fois, le terme Beaujolais nouveau est employé.
En 1953, les délimitations de l'appellation sont redéfinies.
En 1956, quelques viticulteurs du nord de l’appellation (Haut-Beaujolais) invente le concept d'un vin produit par macération carbonique et vendu deux mois après sa récolte : le Beaujolais nouveau ou Beaujolais primeur. Le Beaujolais primeur représente alors une production de 15000 hectolitres.
En 1958, la superficie du vignoble est de 16500 hectares.
En 1967, un décret fixe la commercialisation du beaujolais nouveau au 15 novembre, à minuit.
En 1973, la superficie du vignoble atteint 19400 hectares et le rendement moyen 58 hectolitres par hectare. Le Beaujolais primeur représente alors 150000 hectolitres soit 17 % de la production totale.
En 1977, l'année est tellement mauvaise que la date de commercialisation du Beaujolais nouveau est fixée au 25 novembre minuit au lieu du 15 novembre.
En 1978, la production de Beaujolais primeur représente 200000 hectolitres.
En 1983, la production du Beaujolais primeur est de 450000 hectolitres, soit plus de 50 % de la production totale de Beaujolais.
En 1985, un nouveau décret fixe la date de la commercialisation au 3ème jeudi du mois de novembre à minuit. Les volumes de Beaujolais nouveau représentent alors 500000 hectolitres.
En 1990, les volumes commercialisés de Beaujolais nouveau représentent 50 % de la production totale de l'appellation soit 600000 hectolitres.
En 1994, la production de Beaujolais primeur baisse à 450000 hectolitres.
En 2001, l'INAO interdit l'utilisation de machines à vendanger au motif que la vendange doit s'effectuer par grappes entières pour permettre une macération carbonique.
Au début du 21ème siècle, le vigneronnage (forme de métayage) représente encore près de 50 % des exploitations.
En 2004, la récolte mécanique est autorisée pour les vins non primeurs. La superficie du vignoble est alors de 23500 hectares.
En 2006, le Beaujolais primeur rosé est commercialisé pour la première fois.
En 2008, la superficie du vignoble est de 19000 hectares pour une production de 1 million d'hectolitres.
Le décret du 23 novembre 2011 autorise la mécanisation des vendanges et autorise l’utilisation du cépage Aligoté (jusqu'en 2024 si planté avant le 28 novembre 2004) pour le Beaujolais blanc.
En 2013, la superficie du vignoble atteint 17000 hectares.
En 2018, la superficie cultivée de la région est de 14492 hectares dont 4724 hectares pour l’appellation Beaujolais.

Les vins :
Le Beaujolais a les mêmes usages que la région Bourgogne, il est donc autorisé à pouvoir incorporer en mélange dans les vignes un certain nombre de plants d'Aligoté, Chardonnay, Melon, Pinot gris ou Pinot noir, et dont le pourcentage global ne peut dépasser 15 % maximum de l'encépagement.
Cette appellation est célèbre pour son Beaujolais nouveau ou primeur, rosé ou rouge, commercialisé depuis 1985 chaque 3ème jeudi du mois de novembre qui représente le 1/3 de la production de l'appellation.
Vers 1980, la production atteint 700000 hectolitres dont 1/3 pour le Beaujolais primeur.
La moyenne de plantation réelle du vignoble varie de 7000 à 13000 pieds à l'hectare.

.: ABC du Vin :.
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Beaujolais blanc :
Le vignoble blanc de l'appellation Beaujolais ne représente que 1 à 2 % de la superficie et les vins blancs représentent 2 % du volume des vins de l'appellation.
Il est situé essentiellement dans la région des Pierres dorées (le sud de l'appellation) et quelques parcelles sont situées dans l'appellation Beaujolais-Villages.
Vin aux notes d'agrumes et de fleurs blanches avec une touche de vanille pour ceux qui ont connu l'élevage sous bois.
Température de service : 08-10 °C (46-50 °F).
Garde potentielle : 2 à 4 ans.

Accord(s) gourmand(s) avec ce vin sur le site www.101pairing.com.


.: ABC du Vin :.
.: ABC du Vin :.
Beaujolais rosé :
La proportion des cépages accessoires Gamay de Bouze et Gamay de Chaudenay ne peut dépasser 10 % de l’assemblage.
Vin à la robe claire avec des arômes de fleurs blanches et de fruits (fraise des bois, framboise, groseille, mûre, pêche).
Température de service : 10-12 °C (50-54 °F).
Garde potentielle : 1 à 2 ans.

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.: ABC du Vin :.
.: ABC du Vin :.
Beaujolais rosé nouveau ou primeur :
Vin à la robe claire, acidulé avec des arômes de fleurs et de fruits (framboise, pomme verte).
Température de service : 10-12 °C (50-54 °F).
Garde potentielle : 1 an.

Accord(s) gourmand(s) avec ce vin sur le site www.101pairing.com.


.: ABC du Vin :.
.: ABC du Vin :.
Beaujolais rouge :
La proportion des cépages accessoires Gamay de Bouze et Gamay de Chaudenay ne peut dépasser 10 % de l’assemblage.
Vin simple à la robe rubis aux reflets violacés, aux arômes de fleurs (iris, pivoine), de fruits rouges acidulés (fraise, framboise, groseille) et noirs (cerise, cassis), facile à boire.
Se consomme de préférence à une température proche de celle de la cave.
Température de service : 13-15 °C (55-59 °F).54 °F).
Garde potentielle : 2 à 4 ans.

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.: ABC du Vin :.
.: ABC du Vin :.
Beaujolais rouge nouveau ou primeur :
La proportion des cépages accessoires Gamay de Bouze et Gamay de Chaudenay ne peut dépasser 10 % de l’assemblage.
Vin simple à la robe rubis aux reflets violacés, parfumé, aux arômes de fleurs (iris, pivoine), de fruits rouges acidulés (fraise, framboise, groseille) et noirs (cerise, cassis).
Température de service : 12-14 °C (54-57 °F).
Garde potentielle : 1 an.

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Synthèse des conditions de production du décret d'appellation :
  • Densité minimale de plantation : 5000 pieds/hectare.
  • Irrigation : interdite.
  • Méthode de vendanges : Tri de la vendange obligatoire.

  • .: ABC du Vin :.
    Beaujolais blanc :
  • Encépagement : Chardonnay.
  • Richesse minimale en sucre des moûts : 170 g/L.
  • Titre alcoométrique volumique naturel minimum : 10,5 %.
  • Rendement visé : 68 hL/ha.
  • Rendement butoir : 75 hL/ha.
  • >Enrichissement : Autorisé.
  • Titre alcoométrique volumique total maximum après enrichissement : 13 %.
  • Teneur en sucres résiduels : 3 g/L maximum.
  • Commercialisation possible à partir du 15 décembre de l'année de récolte.


  • .: ABC du Vin :.
    Beaujolais rosé :
  • Encépagement : Cépage principal : Cépage principal : Gamay.
    Cépages accessoires (15 % maximum) : Aligoté, Chardonnay, Melon, Pinot gris, Pinot noir.
    Autres cépages accessoires (10 % maximum) : Gamay de Bouze, Gamay de Chaudenay.
  • Richesse minimale en sucre des moûts : 161 g/L.
  • Titre alcoométrique volumique naturel minimum : 10 %.
  • Rendement visé : 60 hL/ha.
  • Rendement butoir : 65 hL/ha.
  • Enrichissement : Autorisé.
  • Titre alcoométrique volumique total maximum après enrichissement : 12,5 %.
  • L'utilisation de charbon oenologique est : Interdite.
  • Teneur en sucres résiduels : 3 g/L maximum.
  • Élevage au minimum jusqu'au 15 juin de l’année suivant la récolte.
  • Commercialisation possible à partir du 15 décembre de l'année de récolte.


  • .: ABC du Vin :.
    Beaujolais rosé nouveau ou primeur :
  • Encépagement : Cépage principal : Gamay.
    Cépages accessoires (15 % maximum) : Aligoté, Chardonnay, Melon, Pinot gris, Pinot noir.
    Autres cépages accessoires (10 % maximum) : Gamay de Bouze, Gamay de Chaudenay.
  • Rendement visé : 60 hL/ha.
  • Rendement butoir : 65 hL/ha.
  • Richesse minimale en sucre des moûts : 161 g/L.
  • Titre alcoométrique volumique naturel minimum : 10 %.
  • Enrichissement : Autorisé.
  • Titre alcoométrique volumique total maximum après enrichissement : 12,5 %.
  • Vinification : La durée de cuvaison des vins est inférieure ou égale à 10 jours.
  • L'utilisation de charbon oenologique est : Interdite.
  • Teneur en sucres résiduels : 3 g/L maximum.
  • Embouteillage : Avant le 1er décembre de l’année de la récolte.
  • Commercialisation possible : à compter du troisième jeudi du mois de novembre de l'année de récolte.


  • .: ABC du Vin :.
    Beaujolais rouge :
  • Encépagement : Cépage principal : Gamay.
    Cépages accessoires (15 % maximum) : Aligoté, Chardonnay, Melon, Pinot gris, Pinot noir.
    Autres cépages accessoires (10 % maximum) : Gamay de Bouze, Gamay de Chaudenay.
  • Rendement visé : 60 hL/ha.
  • Rendement butoir : 65 hL/ha.
  • Richesse minimale en sucre des moûts : 171 g/L.
  • Titre alcoométrique volumique naturel minimum : 10 %.
  • Enrichissement : Autorisé.
  • La concentration partielle des moûts de raisins par les techniques soustractives d'enrichissement (TSE) est autorisée, elle ne peut pas dépasser 10 % du volume du moût de départ.
  • Titre alcoométrique volumique total maximum après enrichissement : 12,5 %.
  • Teneur en sucres résiduels : 3 g/L maximum.
  • Élevage au minimum jusqu'au 1er janvier suivant la récolte.
  • Commercialisation possible à partir du 15 janvier suivant l'année de récolte.


  • .: ABC du Vin :.
    Beaujolais rouge nouveau ou primeur :
  • Encépagement : Cépage principal : Gamay.
    Cépages accessoires (15 % maximum) : Aligoté, Chardonnay, Melon, Pinot gris, Pinot noir.
    Autres cépages accessoires (10 % maximum) : Gamay de Bouze, Gamay de Chaudenay.
  • Rendement visé : 60 hL/ha.
  • Rendement butoir : 65 hL/ha.
  • Richesse minimale en sucre des moûts : 171 g/L.
  • Titre alcoométrique volumique naturel minimum : 10 %.
  • Enrichissement : Autorisé.
  • La concentration partielle des moûts de raisins par les techniques soustractives d'enrichissement (TSE) est autorisée, elle ne peut pas dépasser 10 % du volume du moût de départ.
  • Titre alcoométrique volumique total maximum après enrichissement : 12,5 %.
  • Vinification : La durée de cuvaison des vins est inférieure ou égale à 10 jours.
  • Teneur en sucres résiduels : 3 g/L maximum.
  • Embouteillage : Avant le 1er décembre de l’année de la récolte.
  • Commercialisation possible : à compter du troisième jeudi du mois de novembre de l'année de récolte.
  • Dernière modification: 28 Février 2024
    Éditeurs: Sylvain Torchet
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